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TRALALA TSOIN TSOIN

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Gazelle Rebelle Tabasseuse d'enfants
Matt
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Matt

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MessageSujet: TRALALA TSOIN TSOIN   TRALALA TSOIN TSOIN Icon_minitimeDim 30 Déc - 1:58

TRALALA TSOIN TSOIN 3247343333 02h-04h


Il a sommeil et affalé sur la banquette du train, il n’a aucune envie de sortir de cet engourdissement. Ses paupières sont lourdes, trop lourdes pour qu’il veuille bien les lever. Wesh depuis quand les paupières c’est lourd ? Et il est passé où mon oreiller ? Toujours les yeux clos et faisant à présent la moue sa main tâtonne près de sa tête mais ne rencontre que la surface dure des banquettes du train. Sur ce contact auquel il ne s’attend pas, ses yeux s’ouvrent, découvrant deux iris de couleurs grises. Pendant un moment ses yeux scrutent le paysage l’entourant et quand il se rend enfin compte qu’il est dans un compartiment de train ses sourcils se froncent, ses yeux se plissent et il renifle, agacé. Qu’est-ce que je fous là moi ? L'est dégeux ce train en plus, ils foutent quoi ceux qui nettoient ? Mais il a beau chercher une réponse rien ne vint à lui. Son regard balaie une nouvelle fois le compartiment pour constater qu’il n’y a l’air d’avoir personne à part lui. Le train est à l’arrêt, normal, ils sont tous descendu nan ? Après un bâillement et une main passée dans ses cheveux il se lève enfin de son siège et manque de peu de se cogner contre le porte bagage. Décochant un regard furieux à ce dernier il se dirige ensuite dans l’allé cherchant à descendre de ce train de merde. C’est seulement arrivé à la sortie qu’il se rend compte qu’il fait nuit. L'est quelle heure ? A cette pensée sa main se glisse instinctivement dans sa poche de jean et en sort un portable tactile qu’il ne reconnait pas. Pendant un moment il reste immobile, le regard rivé sur le portable. L’écran affiche bien une heure. Mais bien au dessus des 24h normales. Et les chiffres défilent en sens inverse, un compte à rebours? Après quelques minutes de manipulation pour réussir à afficher autre chose, sans succès il s’arrête et range son portable d’un geste furieux. Fait chier ce truc. Il descend du train et commence à marcher dans la nuit, longeant les wagons, son air se faisant de plus en plus hautain à chaque pas. Toujours personne… Il commence à se poser des questions en voyant malgré l’obscurité toutes les plantes jonchant le sol du quai. C’te ville de crasseux quoi…Où j’suis ? Regardant alentour il se rend compte qu’il ne se souvient absolument pas être déjà allé ici, il ne se souvient pas de pourquoi il a voulu venir ici. En fait il ne se souvient même pas d’être montré dans ce train. C’est vrai quoi pourquoi je serais monté dans un train aussi miteux ? Pas à pas les questions apparaissent une à une dans son esprit. Pourquoi y a que moi ? Pourquoi je me souviens de rien ? Qu’est-ce que j’ai foutu hier ? Il s’arrête alors voyant des marches s’enfonçant dans la terre, signe de métro. Il hésite un instant. Son regard se tourne vers le train et c’est alors qu’il découvre son reflet. Oui découvrir car il ne se souvient même pas de son apparence. Il se contemple un instant. Ouai beau gosse, mec. Narcissique aussi ? Non du tout. Avec un sourire il hausse les épaules et se retourne vers la bouche de métro. Allez, y aura sûrement des clochards. Et sans hésiter plus il s’engage dans les escaliers, descendant les marches sans se presser.
Au bas des marches, ne voulant pas s’enfoncer dans l’obscurité la plus totale il sort son portable et se sert du peu de lumière que dégage de l’écran pour voir au moins sur quoi il marche. S’enfonçant toujours dans les ténèbres, ses pas résonant dans l’endroit lugubre, il commence à avoir chaud, à être oppressé par la chaleur et l’humidité. C’est quoi cet endroit de merde ? Ne voyant et n’entendant personne, alors qu’il parcoure le métro depuis suuuuper longtemps -quelques secondes-, il commence à se demander pourquoi il est descendu. Ayant la flemme d’aller plus loin il s’assoit sur le bord des rails et pose son portable. Ça commence à faire chier c’t’histoire. Alors qu’il retrousse les manches de son gilet pour avoir moins chaud, un éclat argenté attire son attention. Il pose son regard sur la gourmette en argent qu’il porte au bras. Matt ? Je m’appelle Matt ? Ha ouai comment je m’appelle moi ? Ouai allez Matt, sinon j’aurais pas c’te gourmette sur moi. Un moment il reste là sans bouger et puis après un éclair de génie, venu de nulle part, il se dit enfin qu’il serait intéressant de fouiller ses poches. Il en sort des clés. Des clés… Mais c’est génial, ça. Avec un soupir il les range dans une autre poche et sort à présent un papier où sont inscrits au stylo un numéro et une adresse. Bien, l’est où le GPS ? Mais ces poches ne lui révélèrent rien d’autres et il finit par ranger le papier, ce dernier ne lui rappelant rien. Regardant vers la droite puis vers la gauche dans le tunnel où le métro devrait circuler il aperçoit alors une lumière plus loin, mais sa source est cachée par un tournant du tunnel. Il attend quelques secondes croyant que c’était les phares d’un métro. Mais il se rend vite compte qu’il n’y a aucun bruit à part celui de sa respiration et que la lumière n’avance pas. Fronçant les sourcils, il lance un ‘Et puis merde' et se laisse glisser sur les rails. Enfin à côté, oui parce que c’est peut-être électrique ces machins là, même si il n’y a même pas de lumière dans le métro. Prenant son portable il se dirige vers la lumière s’en se préoccuper plus de l’éventualité qu’un métro arrive. L’espace se fit plus grand entre les rails et le mur et dans un tournant, il découvre la source de la lumière. De la lumière s’échappe d’une porte grande ouverte, donnant sur une sorte jungle, une silhouette se tenant immobile devant et un louveteau à ses côté. Quoi de plus normal ? Mais Matt ne se pose pas plus de questions car son regard est fixé sur la fille qui se tient là. Un sourire naquit alors en un clin d’œil, effaçant son visage jusqu'à là méprisant. Rangeant son portable, puisqu’il n’en a manifestement plus besoin pour s’éclairer, il s’approche de la jeune fille, un sourire charmeur collé aux lèvres. Il lançe alors un « Salut » essayant d’attirer l’attention de la jolie blonde mais sans succès, son regard était fixé sur autre chose et elle restait immobile. Mais elle m’ignore ou quoi ? Se disant qu’il est impossible qu’on puisse l’ignorer il s’arrête devant elle et passe la main devant ses yeux espérant avoir une réaction.

-Ça va ?

Aucune réponse… C’en était frustrant pour Matt, même énervant. Il la regarde de nouveau se demandant si ce n’était pas une statue tout compte fait vu son bras resté tendu dans le vide et se rend alors compte des branches qu’elle tient comme des béquilles et du tissu rougeâtre qui entoure sa jambe et semble couvrir une plaie. Une rescapée ? Ou un zombie ? Ouai elle est complètement amorphe c’est peut-être ça. Il se penche pour mettre sa tête à la même hauteur que la blonde et contemple un instant ses yeux bleu cyan qui semblent ailleurs. Ou une droguée. Mais elle en a prit de la bonne là.

Actuellement en train de piquer un loup à Fire
Anju
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MessageSujet: Re: TRALALA TSOIN TSOIN   TRALALA TSOIN TSOIN Icon_minitimeLun 31 Déc - 17:43

      Ce n'était pas possible. « T’en a pas marre de chanter tout le temps ? » Non, cette voix ne m'appartenait pas. « En plus tu dors avec un doudou ? Espèce de bébé. » Il m'était impossible d'être aussi méchante et odieuse... Cette voix n'était pas mienne, je n'étais pas cette blonde qui crachait de la haine avec une telle effervescence. Je voyais le regard de la rousse. Timide, avec sa jolie voix. Ses beaux cheveux roux... Elle semblait tellement solitaire, dans cette salle de bains... Elle me balbutiait, et au lieu de m'excuser de mon comportement inapproprié, je lui avais répondu « Laisse. Je m’en fiche. Vraiment. Tu as peut être une jolie voix ou alors t’as du faire du charme au jury ou je ne sais pas mais écoute moi bien : je suis celle qui ira le plus loin entre nous deux. Tu m’entends ? » ...

      Je me voyais me rapprocher, de plus en plus de son visage frêle et pâle, je pouvais sentir le feu dans mes yeux, comme si d'un regard je voulais me débarrasser de la jeune fille. Les mots fusèrent, comme des balles de plomb, sans scrupule, sans hésitation, parce que cette « fille » se devait de le faire ... « Espèce de… »

      Je voulais quitter ce souvenir, cette séquence, ce moment de mon passé, ce n'était pas moi, pas moi ! J'en étais intimement convaincue. Lorsque mon souvenir s'acheva sur ma dernière phrase, et que le décor s'effaça, je m'écroulais sur mes genoux, faisant tomber mes bâtons, le regard hagard. Je serrais le louveteau contre-moi, reprenant ma respiration comme si j'avais été, durant ce laps de temps, en apnée. Les doigts accrochés dans sa fourrure soyeuse, je relevais mes yeux vers une silhouette que je n'avais pas vu. Pourtant, elle était là, depuis un long moment. Elle me contemplait, intriguée, comme si j'avais fait quelque chose de perturbant.

      Alors, l'incompréhension que j'avais gardé jusque là enfouie, tout ce que je croyais être... N'était qu'un tissus de mensonge. Je venais de voir la vraie moi, une fille dédaigneuse, remplie de haine jusqu'au bout des ongles... Je dévisageai le monsieur face à moi. Avant de fondre en larmes. Les sanglots s'échappèrent de ma gorge, incontrôlables, en un torrent que je croyais ne jamais pouvoir arrêter.

      Il semblait aussi perdu que moi je l'étais à cet instant. Sans doute venait-il d'arriver lui aussi. Quelle chance a-t-il eu de tomber sur moi, le boulet de cette Ville. Il ne comprenait pas ce qu'il m'arrivait, et franchement, j'aurais préféré ne jamais connaître cette faciès de ma personnalité. J'aurais voulu être lui, la personne gênée par le comportement de celui qui voyait l'autre revoir son passé, parce que personne n'aimerait savoir, n'y voir ce que moi j'avais vu.

      Il fallait que je taraude mes larmes, ce fut travail difficile, mais j'y parvins - non sans mal. Séchant mes pommettes mouillées par l'eau salée que mes yeux avaient déversés, j'essayais d'étendre un petit sourire avant d'émettre un son, quelque chose de compréhensible.

      « Je suis désolée que vous ayez assisté à... À ça. » J'attrapais mon bâton et me relevais avec difficulté, flattant le crâne de Crépy qui avait dû se demander ce qu'il m'arrivait. « Je suis... » Une personne que je n'aurais jamais voulu être... « Ēkā. Et vous ? »

      Il fallait avancer. Je ne serais jamais une telle personne, j'en faisais le serment. Plus jamais je ne serais aussi cruelle, ce n'était pas moi, cela ne sera jamais plus. Regardant le monsieur qui devait faire au moins deux têtes et demie de plus que moi, j'attendis sa réponse. Si il venait d'arriver, il fallait que je l'aide, il ne savait pas où il était et, au vue des circonstances, je préférais lui dire qu'il y avait des bêtes dangereuses et autres dangers... Pour le peu que j'en savais...

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MessageSujet: Re: TRALALA TSOIN TSOIN   TRALALA TSOIN TSOIN Icon_minitimeSam 5 Jan - 18:38

Crépuscule était un minuscule petit louveteau. Son pelage bleu comme la nuit soyeux lui donnait des airs de peluches qu'accentuaient ses toutes petites oreilles repliées sur le côté. Pour l'heure, il se pressait aux pieds d'Eka en jappant. Il avait grogné en flairant la présence de Matt. Ses yeux aveugles ne pouvaient pas voir le jeune homme mais son odorat lui suffisait pour le détecter.

Il se mit à hurler. A priori sans raison. Son cri n'avait rien à voir avec le chant rauque des loups adultes, cela ressemblait à un long couinement aigu de jouet en plastique.

J'entends le bruit. Je sais. Ils me cherchent.

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MessageSujet: Re: TRALALA TSOIN TSOIN   TRALALA TSOIN TSOIN Icon_minitimeDim 6 Jan - 9:59

Quand il l’avait vu sortir de son étrange transe, quand il l’avait vu tombé à genoux, il avait esquissé un mouvement pour l’aider à se relever. Mais elle serrait alors un sale cabot entre ses bras. Enfin en fait il ressemble plus à un louveteau, un gros louveteau. Qu’est-ce ça fout là ça, d’ailleurs ? Pff et puis qu’est-ce j’en ai à foutre sérieux ? Ce que compris Matt avant même que la jeune fille ne fonde en larme c’est qu’elle semblait paniquer. Par quoi ? Par qui ? Il ne sait pas et sa réaction lui semble de plus en plus étrange. Jusqu’à là elle ne la même pas remarqué, ce n’est quand relevant la tête qu’elle le vit. Ha bah enfin! Son humeur remonte d’un cran avant de redescendre complètement en voyant la blonde pleurer. Wah nan quoi… Il ne tente même pas un geste pour la réconforter, trop excéder par cette nouvelle réaction. Et puis quoi, ça fait pitié les gens qui pleurent. Mais il ne lui dévoile pas non plus ce qu’il en pense. Elle est déjà à genoux pas besoin de la rabaisser plus . Oui il a quand même une once de pitié pour la blonde qui sanglote à genoux à côté des rails d’un métro. Mais il reste cependant immobile, statue de marbre au regard froid. Bien sur quand elle relève son visage vers lui il efface toute froideur du sien. Et c’est avec un sourire charmeur qu’il la regarde sécher ses larmes. C’est déjà mieux. Il écoute ses paroles tandis qu’elle se relève avec difficulté. Wesh elle me vouvoie quoi. C’pour les vieux ça… Et oui si vous n’étiez pas au courant, Matt ne connaît pas la politesse. Ouais, ouais j’te pardonne de m’avoir ignoré . Et puis elle lui dit son nom, qu’il note dans un coin de sa tête, pour essayer de s’en rappeler. Essayer oui, parce que la mémoire ça doit pas être son truc. Avec un sourire il lui répond, ses yeux gris plongé dans ses yeux bleus cyan :

- Matt.

Même pas une phrase pour se présenter. Pas même quelques mots pour dire qu’en fait il ne sait pas si c’est son vrai prénom. Non car c’est Matt, et que parler bien, faire des périphrases il ne connait pas. Au sens propre du terme d’ailleurs. Il s’est approprié ce nom avec autant de facilité que si c’était le sien. Alors qu’il n’en sait absolument rien. En fait il s’en fout complètement. La seule chose qui accapare son attention à présent est la belle blonde. Qui a l’air d’avoir bien du mal à tenir debout avec ses bâtons. Mais depuis quand Matt s’inquiète-il de la santé des autres ? Depuis que c’est une fille, voyons. Le jeu de la drague, il faut bien être hypocrite non ? D’un air cependant plus blasé qu’inquiet il lui demande :

-'T’es fait quoi ?

Ses paroles sont suivies d’un geste du menton vers sa jambe. Mais déjà son regard ne s’attarde plus sur sa blessure mais sur ses jambes. Belles jambes. Il remonte son regard. Un peu trop haut en fait et contemple un instant… Le mur du métro. … Faut le taguer, l’est moche. Ses yeux redescendent vers Ēkā. ‘Sont petits les gens. C’est la marque de la ville ? Bienvenue chez les nains, haha. Le louveteau hurle alors. Matt lui lance un regard dégoûté. L’est pas bien c’clebs . Il marmonne alors entre ses dents :

-'Veut pas se la fermer deux secondes celui-là ?

Il détourne ensuite résolument son regard de cette sale bestiole. Et se disant que le métro c’est quand même pas très intéressant et surtout qu’il commence à avoir trop chaud il propose à Ēkā de sortir de là. Oui parce que la jungle qu’il voit derrière la porte, sans façon. Et vérifiant qu’elle le suit il fait demi-tour, revenant sur ses pas, puisque c’est le seul chemin qu’il connaît. Les mains dans les poches, ses pupilles observent l’obscurité. Quand, trop éloigné de la porte donnant sur le zoo, elle se fait plus épaisse, il sort son portable pour s’éclairer un peu. Enfin il mit encore quelques temps à l’allumer appuyant furieusement sur les seuls boutons sur le côté. Grand moment de solitude avec son smartphone. J’vais l’exploser ce portable de merde s’il continu. Et oui voyons ce n’est pas la faute de Matt mais du portable, évidemment. Il parcoure ainsi le trajet de retour, le portable en guise de lampe-torche, la blonde le suivant. Arrivé aux escaliers, il commence tout naturellement à monter. Avant de se rappeler qu’Ēkā est blessée. Ha oui merde. Se retournant et voyant qu’elle avait effectivement bien du mal à monter les marches avec ses pauvres branches en guise de béquilles il redescend vers elle, se penche. Et c’est avec un sourire qu’il passe un bras sous ses épaules et un autre sous ses genoux et la soulève tout naturellement. Allez mode prince charmant wesh. Il monte ainsi les escaliers, la belle blonde dans ses bras, ne se demandant pas si le louveteau suit. Rien à foutre du sac à puces. La présence d’Ēkā contre lui, lui emplis bien assez les pensées. D’ailleurs il l’entend parler, mais ne comprend pas ce qu’elle dit. Il arque un sourcil. Mais qu’est-ce qu’elle raconte ? ’L’a peut-être quand même fumé . Mais cela le fit sourire. Il devrait peut-être se lamenter sur sa perte de mémoire, ou sur le fait qu’il soit complètement perdu dans cette ville, oui peut-être. Mais c’est Matt, et le simple fait d’avoir une fille contre lui, lui fait oublier le reste. Arrivé en haut des marches il la repose, en lui faisant un clin d’œil charmeur et lui demande quelques instants plus tard:

-Bon on va où ?

Mains dans les poches, sourcils froncé en regardant alentour, mine méprisante, mode racaille activé, wesh. Au cas où y aurait des chieurs de services qui s’approcherait un peu trop près de lui. Après l’air chaud, presque suffoquant, le froid de la nuit lui parait bien plus accueillant. Il attend maintenant la réponse d’Ēkā, laissant planer le silence qui peut vouloir dire « Bon tu te décides ? J’ai trop la flemme de réfléchir. » .



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