Pas de doute, le brun lui dit bien quelque chose et la façon qu'ils ont de se parler si naturellement ne fait que renforcer son idée qu'ils ont du se connaître avant leurs arrivées dans cette ville à la noix. Comment se sont-ils rencontrés ? Il n'en a pas la moindre idées mais ils s'entendent comme s'ils étaient les deux meilleurs amis du monde.

Azerty n'est qu'un gosse, pénible à première vue et pourtant, il lui semble qu'il lui rappelle quelqu'un. Il ne saurait dire qui ni pourquoi mes ses traits lui sont familiers. Parfois, en l'apercevant, son coeur palpite d'une terreur inexpliquée. Ce n'est qu'un gosse. Pourquoi aurait-il peur de lui ?

L'homme connaît bien des choses sur la petite Violette et il lui arrive de ressortir des listes de précautions médicales sans vraiment y faire attention dès qu'il lui parle.

Une jeune fille fragile et qui lui parait si petite. Elle lui semble familière, mais c'est tellement vague...Il a envie de la faire rire pour qu'elle sourit.

Ce garçon, il le connait clairement et il l'aime bien, il a l'impression qu'ils pourraient se parler pendant des heures.

Il le regarde, le regarde encore et encore et plus il le regarde, plus il a l'impression que cet homme a eut énormément d’impact sur sa vie. Mais il serait bien incapable d'expliquer pourquoi.

Il y a quelque chose qui lui semble familier dans les traits de la gamine. Ce n'est qu'une impression fugace, pourtant dès que cette dernière fait une mine renfrognée ou qu'elle s'énerve, il lui semble la revoir quelque part. Mais où ? Où ?

Ombre n'est pas folle. Ou peut-être que si. Mais maintenant, elle en est sûre. Elle entend la voix de la Ville, celle-la même qu'elle voyait en rêve depuis quelques temps. C'est la Ville qui lui chuchote à l'oreille jour et nuit, qui la pousse vers cet endroit ou cette personne.

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Il la connaît bien, il n'y a pas à dire. Il arrive à énoncer la plupart de ses allergies alimentaires et semble en connaître plus qu'elle même sur son état de santé. Bizarre ? Mais pourquoi sait-il tout ça ?

Le visage de ce jeune garçon lui rappelait quelqu'un. Il ne savait dire où ni comment, mais il semblait connaître ce jeune homme depuis belle lurette. Pourtant son air de rustre don juan ne lui convenait pas. Pourquoi donc connaissait-il quelqu'un dont il déteste la nature?

Elle lui inspire confiance, bizarrement. Ses longs cheveux blonds, ses yeux verts de chat...Il est sûr de l'avoir déjà connu dans le passé même si son sérieux ne lui plaît pas beaucoup.

Il l'admire, le déteste, et il y a comme de la jalousie dans son regard lorsqu'il essaie de mépriser Loki. Dieu ? Jaloux ? Impossible, il est tellement parfait, il a tellement tout pour lui. Il doit y avoir une erreur.

Il a l'impression de le connaître par coeur, de pouvoir appréhender ses réactions sans la moindre peine. Même si il n'y a aucune sorte de réelle complicité entre eux, dans ce monde où il n'a plus la moindre attache, retrouver un visage connu lui est agréable.

Il n'arrive pas à savoir pourquoi il fait confiance à ce jeune homme, quoiqu'il en soit il a tendance à suivre ses propositions sans douter comme s'il le connaissait déjà par le passé.

Il la trouve belle. Aérienne, indiscernable. Elle l'intrigue et l'intimide à la fois. Il ne sait comment se comporter en sa présence mais il aimerait passer le plus de temps possible avec elle. Dame est le symbole de l’ambiguïté

Il le connaît bien, sait exactement quels coktails il aime et apprécie sa compagnie. Pour autant, il ne le trouve pas assez "cool" - un joint ou deux, ça pourrait pas lui faire de mal..

Il la trouve drôle et assez décoincée pour traîner avec lui. September, c'est comme son meilleure pote, mais en version fille, en fait. Les discussions avec elle sont souvent animées.

Une petite fille au grand sourire naïf. Son jeune visage a quelque chose de familier. Et ses connaissances sur les chiens ont quelque chose d’apaisant. Chlore pourrait suivre des conversations sur les canidés des heures durant avec la jeune fille pour le simple bonheur de réactiver ses connaissances sur le sujet.

Elle a du mal à détacher son regard de ce grand brun mystérieux. Sans qu'elle sache pourquoi, un sentiment d'admiration lui vient quand elle le croise, mais pourtant, elle sent que quelque chose lui interdit de trop l'approcher. Le voir devient douloureux, sans qu'elle puisse s'expliquer pourquoi. Qu'est-ce qui l'empêche de se rapprocher de lui plus que ça ?

Elle l'aime bien. C'est difficile de dire exactement comment, mais ce garçon, elle sent qu'elle peut lui faire confiance, qu'elle peut lui parler honnêtement. Malgré tout ça, elle sent aussi comme une barrière entre eux.

Ce type, elle ne l'apprécie pas vraiment. Elle est certaine de le connaitre, mais elle est sûre que ce n'était pas pour une raison glorieuse. Elle n'a aucune envie de parler avec lui. Elle n'a même pas envie de s'approcher de lui.

Elle adore cette fille, et elle devait déjà l'adorer avant, puisque son visage lui semble si familier. Elle a envie de plaisanter avec elle, comme une sorte de complicité.

Ce jeune homme déclenche en elle une véritable tempête, un mélange d'affection et de désespoir prononcé. Elle voudrait le prendre dans ses bras, mais a comme peur de l'approcher.

Elle le connaît, elle est sûre. Ses mimiques et ses intonations lui paraissent familière sans qu'elle sache trop pourquoi. Elle apprécie sa maturité et aime se reposer sur lui.

Avec lui, tout lui semble plus facile. Ils rient souvent ensemble, sont sur la même longueur d'onde. Pourtant, de vifs accès de colère lui remontent sans qu'elle sache trop pourquoi lorsqu'elle passe trop de temps en sa compagnie.

Son air revêche et sa démarche de racaille l'exècre. Elle ne sait pas pourquoi, mais elle n'a qu'une envie quand elle le voit, c'est de lui coller un coup de canne pour lui apprendre les bonnes manières ! Il y a aussi de la déception, dans son regard de vieille bique, lorsqu'elle le toise.

Dès qu'il entendit la voix du brun, quelque chose se débloqua dans sa tête. Les paroles de l'opéra Rigoletto de Verdi lui revinrent immédiatement sans qu'il puisse tout à fait établir pourquoi ni comment.

Ce gentleman maniéré lui rappelle vaguement quelqu'un. Lorsqu'ils sont ensemble, ils leurs arrivent même de se compléter mutuellement leurs phrases.

Isis lui semble terne, banale, insignifiante, dévergondée. Elle l'agace. Mais ça ne l'empêche pas de connaître un tas de détails anodins sur elle. Il sait que son vernis préféré à une teinte rouge rubis 1.2, qu'elle ronfle et qu'elle est allergique aux oeufs.

Décidément, cette jeune fille a l'air tout simplement merveilleuse. Éblouissante. Il a très envie de rester avec elle pour lui tenir compagnie.

Cette vieille chèvre lui donne la migraine à chaque fois qu'il y pense, et il ne pense qu'à une chose : éviter de rester trop longtemps à proximité.

Monsieur est un personnage qui a beau être excécrable, elle n'arrive pas à le détester tout à fait comme si une part de lui lui faisait de la peine. Beaucoup de peine.

Une complicité à toute épreuve lie les deux personnages. Nova a tendance à prendre l'homme sous son aile et à mener le jeu lorsqu'il s'agit de prendre des décisions.

Oui, elle lui rappelle bien quelqu'un. Les deux jeunes femmes rient facilement ensemble et se révèlent être plutôt proche dans cette étrange ville. Isis est un éclat de soleil, un rayon de joie auquel Nova se raccroche et qu'elle a tendance à suivre.

Dans sa tête, Bartoloméus s'appelle Vanderick, c'est dit et elle est incapable de l'appeler par son nouveau surnom comme si sa mémoire luttait pour conserver ce seul souvenir. Pourquoi ? Elle ne sait plus mais elle l'a bien connu avant, elle en est sûre. Elle le trouve charmant, aimable et bien élevé.

Dragibus l'admire. Elle voue pour la rouquine toujours rayonnante de bonne humeur une admiration sans borne et est prête à faire n'importe quoi pour s'attirer ses bonnes grâces.